Titel: Le sel dans la culture antique
Autor: Bernard Moinier
Format: 14,8 x 20,5 cm
226 S.
ISBN: 978-3-942994-04-0
Status: lieferbar – Inhalt
Preis: 24.80 Euro
Inhalt
Salz war bis in die Neuzeit eines der am meisten geschätzten Handelsgüter in Europa. Als lebenswichtige Grundkomponente der menschlichen (und tierischen) Ernährung kam der Gewinnung und Vermarktung des „weißen Goldes“ zu allen Zeiten ein hoher Rang zu. Im Gegensatz zu den prähistorischen Epochen, deren Beziehung zum Salz nur archäologisch erfasst werden kann, liefern die antiken Kulturen des Mittelmeerraums mit den Bemerkungen der Schriftsteller und Philosophen, der „klassischen“ Autoren wie Aristoteles und Plinius, reichlich Quellenmaterial, das von Bernard Moinier im vorliegenden Band ausgewertet wird. Vor diesem Hintergrund, wird das „weiße Gold“ auch hinsichtlich seiner spirituell-kultischen Relevanz, sowie seiner Rolle in wissenschaftlichen Kontexten in der Antike analysiert. Wie nahmen die Menschen der griechisch-römischen Antike das Salz, diesen wichtigen Mineralstoff, im Alltagsleben wahr und wie reflektierten die bedeutendsten Autoren ihrer Zeit über die weißen Kristalle und ihre Bedeutung? Diesen Fragen geht der Autor anhand der Quellen und mit Hilfe anthropologischer Fragestellungen eingehend nach.
Autorenportrait:
Bernard Moinier beschäftigt sich als Vorsitzender des „Komitees der Salinen Frankreichs“ beruflich mit Salz in allen seinen Aspekten. Er ist Verfasser des Standardwerks „Sel et société“ (Nathan, 1997) und hat sich seit den 80er Jahren (als Teilnehmer und/oder Organisator mehrer Konferenzen) auch besonders mit dem Umgang antiker Kulturen mit dem Salz beschäftigt.
Présentation
Bernard Moinier est un spécialiste des problèmes liés au sel, un élément banal de la vie quotidienne, qui, avant l’ère des réfrigérateurs, joua un rôle fondamental dans toutes les communautés humaines. Il est essentiel en ce qui concerne la préparation de la nourriture et la conservation des aliments. Mais ses utilisations étaient, on est surpris de constater, beaucoup plus étendues. L’Antiquité, dont il est question dans ce livre, ne faisait pas exception.
Son intérêt pour le sel dans l’Antiquité remonte au début des années 80 quand il participa à une conférence organisée à Antibes (1985) sur l’exploitation de la mer. En 1997, il a publié chez Nathan « Sel et Société ». Plus récemment, il a participé aux colloques internationaux sur le sel de Cardona (2005), de Piatra Neamt (2004), de Sigüenza (2006), d’Arc-et Senans (2006) et de Iasi (2008).
En tant que consultant, il est membre d’un groupe de réflexion sur le sel dans l’Antiquité où se retrouvent des universitaires espagnol, français, italien et roumains.
Alors que le grec ancien et le latin sont désormais peu familiers à bien des lecteurs, il nous rend plus convivial l’accès aux textes anciens. En trouvant le ton adéquat aussi bien pour le grand public que pour les spécialistes, il nous facilite la compréhension des questions les plus diverses relativement au sel, de ses applications triviales à ses implications cultuelles. Il nous fait même découvrir quel univers inattendu se trouve derrière la symbolique du sel.